Tandis qu'ils dorment tous, je dis mon chant d'amour.
Des pensées en grand nombre à l'envie me poursuivent,
...
Sa peau lui comme un champ sur la haute colline,
Quand les nuées gonflées déversent à l'aplomb,
Au milieu des éclairs, une pluie ruisselante,
Dont s'abreuve et se lave une steppe assoiffée.
Ah ! j'aime son visage, entre joues et sourcils.
Ah ! elle m'a frappé d'un dard empoisonné,
Me laissant à mon mal et aux plaies qui me rongent.
kourman, Poésies et chant touaregs de l'ayr,
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