mardi 27 février 2007

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lundi 26 février 2007

Le trac des avocats et des conferenciers.

Qui pourrait croire que des hommes bavards par tempérament et doivent chaque jour prendre la parole en public pour défendre la veuve et l'orphelin, sont sujets à des tracs particulièrement angoissants ? Et pourtant cela est.
On se rappelle Cicéron dans toute la possession de ses moyens, incapable de prononcer son discours le mieux préparé: la Milonienne.
«Il faut citer, dit Dugas, ce que maître Cléry raconte des émotions, des angoisses qui précédaient les plaidoiries des maîtres du Palais, émotions se révélant chez quelques-uns par de véritables souffrances physiques. Paillet» par exemple, le jour d'une affaire importante, s'en allant à pied au Palais, rasant les murs en construction, dans le vague espoir qu'une poutre mal dirigée lui casserait la jambe, en disant: «c'est ça qui serait un bon prétexte pour ne pas plaider !»
«Et Chaix-d'Est-Ange, dont la main tremblait si fort qu'il pouvait à peine se raser sans se mettre la figure en sang. Et Bethmont, que j'ai vu au moment d'aborder la barre pris de vomissements presque incoercibles...» Au Palais, on dit que Waldeck-Rousseau, avant de prendre la parole dans une affaire importante, éprouvait les affres du trac.
Notons encore la fréquence des débâcles intestinales de Sarcey, qui devait choisir, pour se rendre à sa conférence, un itinéraire qui lui permettrait de passer devant des maisons amies... Il est d'usage, paraît-il, d'indiquer aux prédicateurs qui vont faire un sermon dans une paroisse étrangère, la retraite où ils pourront donner libre cours aux conséquences de leur émotion.
Les conférenciers aussi peuvent avoir le trac, mais c'est en général un trac moins violent que celui des artistes. Cela se conçoit aisément: le conférencier ne fait que parler sans jouer, et en cas de défaillance, il peut toujours compter sur ses notes.
Le professeur Mosso nous fait, dans son livre La Peur, un récit pittoresque de son trac lors de sa première conférence : "Je me souviens toujours de ce soir, et je m'en souviendrai longtemps... Je regardais derrière le rideau d'une porte vitrée qui donnait dans le grand amphithéâtre bondé d'auditeurs... J'étais nouveau venu dans ma chaire, je me sentais humble et presque repentant de m'être exposé à l'épreuve d'une conférence dans ce même amphithéâtre où avaient parlé maintes fois mes plus célèbres maîtres.
«A mesure que l'heure approchait, ma crainte augmentait ; j'avais peur de me troubler et de rester bouche béante et muet. Mon cœur battait avec force; j'éprouvais l'angoisse de celui qui regarde au fond du précipice. Je voulus alors jeter un coup d’œil sur mon discours, et me recueillir. Mon effroi fut grand en m'apercevant que j'avais perdu le fil de mes idées, et que je ne parvenais pas à relier les fragments de mon discours. Les expériences que j'avais répétées cent fois, de longues périodes que je savais par cœur, tout s'était évanoui comme si je n'y eusse jamais songé.
«Cette absence de mémoire fut pour moi le comble de l'inquiétude. Je vois encore l'appariteur prendre le bouton de la porte et ouvrir, puis, la porte à peine ouverte, je sens un frisson dans le dos, et un bourdonnement d'oreilles, je me trouve enfin près de la table, au milieu d'un silence terrifiant. Il me semblait que j'avais fait un plongeon dans une mer orageuse et que, sortant la tête de l'eau, je me fusse jeté sur un récif au milieu de ce vaste amphithéâtre».
«Mes premières paroles produisirent sur moi une singulière impression. Il me semblait que ma voix se perdait dans une immense solitude Où elle s'éteignait aussitôt émise. Après quelques paroles prononcées presque machinalement, je m'aperçus que j'avais déjà terminé mon exorde et je restai effrayé de ce que la mémoire avait pu me trahir à ce point, sur le passage où je me croyais le plus sûr; mais il n'était plus temps de retourner en arrière, et je poursuivis tout confus... L'amphithéâtre m'apparaissait comme un grand nuage».
«Peu à peu l'horizon s'éclaircit, et dans la foule je distinguai quelques visages bienveillants et amis sur lesquels mes yeux se fixèrent comme le noyé à une planche qui flotte... Puis, à côté, des personnes attentives qui approuvaient de la tête et rapprochaient leurs mains de l'oreille pour mieux cueillir mes paroles».
«Enfin, je me vois dans l'hémicycle, isolé, infime, chétif, humble, comme si je me confessais de mes fautes. La première et la plus vive émotion était passée, mais quelle sécheresse à la gorge et quelle flamme au visage !...
Comme ma respiration était entrecoupée et ma voix éteinte et tremblante! L'harmonie des périodes étaient souvent suspendue par une rapide inspiration, et j'arrivais péniblement à trouver assez d'haleine pour prononcer les dernières paroles qui achevaient ma pensée».
«Vers la fin, je sentis de nouveau le sang circuler, puis quelques minutes d'inquiétude s'écoulèrent encore; ma voix qui tremblait beaucoup, avait pris le ton persuasif de la conclusion, j'étais essoufflé et tout en nage. Les forces étaient sur le point de m'abandonner; en regardant les gradins de l'amphithéâtre, il me sembla que la gueule d'un monstre s'ouvrait peu à peu pour m'engloutir dès que j'aurais prononcé mes dernières paroles.»
M. Claretie connaissait également l'émotion. Elle se manifestait chez lui un peu avant de paraître en public, et atteignait son plus haut degré pendant le court instant durant lequel le conférencier s'avançait pour gagner la table. A ce moment, les idées les plus absurdes, les plus illogiques, lui passaient par la tête. Il se demandait ce qu'il venait faire là, quelle était l'utilité de cette épreuve, s'il ne serait pas infiniment mieux chez lui, tranquillement installé dans son cabinet.
Chez certains conférenciers, l'émotion a pour effet de précipiter le débit à tel point qu'une conférence qui devait normalement durer une heure est terminée au bout d'une demi-heure, l'orateur faisant des coupes sombres dans certains passages, sans se préoccuper de la logique du développement.
D'autres vont jusqu'à supprimer complètement la conférence.
Assolant, revenant d'un voyage en Amérique, était un jour invité à faire une causerie, et il avait pris pour thème le titre de son livre «La Vie aux Etats-Unis». La documentation ne lui manquait donc pas. Il s'installe derrière sa table et commence: «Messieurs, dit-il d'un air assuré, quand on veut partir pour l'Amérique.., quand on veut y aller.., on prend l’avion...» «On écoutait, quelque peu interloqué, rapporte Sarcey. Tout à coup nous le vîmes ramasser ses papiers, son livre, se lever en pied, descendre de la chaire...» «Et moi je prends la porte, nous dit-il..»









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Le trac des artistes

Certains artistes - mais ils sont rares ceux-là tiennent à leur trac et le considèrent comme un élément nécessaire qui leur per­met de développer au maximum toutes leurs qualités et de faire passer leur émotion jusqu'au plus profond de l'âme des spectateurs, tel Signoret, dont vous avez souvent applaudi le merveilleux talent.
A mes questions, Signoret répondit: «Le trac est une maladie qu'il faut avoir. Il faut plaindre les artistes qui ne l'ont pas. Voyez-vous, Monsieur, je pense que le trac est en corrélation exacte de l'importance qu'un artiste donne à son art. C'est vous dire que j'ai toujours eu le trac, que je l'ai encore, et que j'espère l'avoir toujours. Je ne regrette pas de souffrir un peu de cette terrible maladie qui, heureusement, n'est que passagère. Je ne le regrette pas car je bénéficie presque toujours d'une rapide et bienfaisante réaction qui me conduit vers le SUCCES».
Il est fort probable que Signoret n'a jamais connu le vrai trac, le trac qui fait bondir le cœur, coupe la respiration, rend aphone, fait un trou béant dans la mémoire. Mais il est un trac léger, une émotion presque inévitable qu'un bon artiste ressent au moment de paraître en public et qui, loin d'être nuisibles lui donnent une sensibilité plus vive, une compréhension plus poussée du rôle, et lui permettent de jouer avec plus de brio. L'acteur est comme grisé. Si donc le vrai trac est un désastre sur la scène, une certaine émotion doit être considérée comme utile et jamais nous ne chercherons à détruire cette émotion.
C'est sans doute ce premier degré de trac auquel Signoret fait allusion; dans ce cas je me déclare pleinement d'accord avec lui.
Edmée Favart, tout en souffrant du trac, en considère surtout le côté utile: c'est, sans qu'elle s'en doute, un moyen indirect de lutter contre lui.
«Le trac, dit-elle, maladie des débutants, pense le commun des mortels. Quelle erreur ! Il s'accroît au contraire avec la notoriété: plus on monte en grade, plus on en est la victime. La grande Sarah Bernhardt elle-même en a souffert jusqu'à son dernier jour. Ceci est très explicable: la responsabilité de la bataille étant réservée au général et non aux soldats».
«Ainsi que l'a enseigné Coué, on peut arriver à maîtriser le trac par l'éducation psychique. Pour ma part, je crois que nous devons subir ce divin supplice : il est un stimulant qui nous incite à mieux faire.»


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Le trac des examens

Les variétés de trac sont nombreuses. Nous allons passer en revue les plus fréquentes.
Trac des examens tout d'abord. Bien peu de candidats y ont échappé. Rappelez-vous, timides, le calvaire des concours, la détresse infinie de tout l'être devant l'impuissance à rassembler les idées, à retrouver les souvenirs. A la première question, on voit le candidat pâlir, s'embrouiller dans les phrases les plus simples, qu'il n'arrive pas à terminer. Un examinateur malveillant peut lui faire dire les sottises les plus invraisemblables. «Le Rhône se jette bien dans la Manche ?... -- Oui Monsieur !» répondait un jour à un examen Anatole France intimidé.
Il arrive que le timide, pour masquer son trouble ou pour triompher, parle sans discontinuer, parfois avec brusquerie, et prend une attitude agressive. Il semble se moquer et indispose son examinateur, alors qu'au fond il a perdu tout contrôle.
Et vous, automobiliste, ancien aspirant au permis de conduire, évoquez vos souvenirs plus ou moins récents. Souvenez-vous de ce jour mémorable où, après une attente prolongée et une conversation qui roulait sur la sévérité de plus en plus grande de l'examen, l'ingénieur vous invita à prendre place près de lui. Vous qui étiez si fier de la façon dont vous aviez conduit les jours précédents, vous considériez ce jour-là avec anxiété tous les organes de manœuvre.
Jamais, au grand jamais, votre voiture n'avait possédé tant de boutons, de commandes, de pédales, de cadrans !

Essayons tout de même de partir !... Après quelques tâtonnements, on retrouve le bouton du démarreur.
Le démarreur tourne longtemps sans résultat... « - Vous avez oublié de mettre le contact...» Vous faites un bond brutal, et la voiture s'immobilise... « - Il faut penser au frein à main...» Puis vous partez délibérément.., en marche arrière... Vous appuyez à fond sur l'accélérateur quand vous auriez voulu freiner. Vous calez votre moteur un certain nombre de fois, et l'ingénieur vous prie de vouloir bien repasser un mois plus tard, après avoir reçu quelques leçons supplémentaires. Et pourtant, quand vous étiez seul, tout allait si bien !
Le trac vous a paralysé !

medastuf Le Sahara!!!

jeudi 22 février 2007




Bonjour,
pour des raisons de principe et d'intérêt général des internautes.
Je voudrais vous faire part de mon engagement à vous livrer chaque mois 5 textes. Afin de vous permettre:
A vous les internautes!!!
de vous rafraîchir la mémoire et mener des recherches comme si vous vous balader tranquille dans un gros, pour ne pas dire grand centre commercial à la recherche de produits qui vous trouvez intéressant.

vendredi 16 février 2007

Oh! pe pe peup en exclusivité!!!

La casamance toute la vérité c'est le mois prochain le compte à rebours vient de se déclencher........

MOUSTAPHA NIASSE, Secrétaire Général de l’AFP «Je m’engage sur un mandat»

Le leader de l’AFP engage l’ultime campagne électorale de sa carrière politique. Il y va avec un réel enthousiasme et sans appréhension. Dans l’entretien qui suit, il dévoile ses résolutions de présidentiable. Un mandat, rien de plus, annonce-t-il pour lancer la campagne électorale qui démarre ce 3 février.
NOUVEL HORIZON : A un mois du scrutin présidentiel, comment se sent le candidat Moustapha Niasse ?

Moustapha Niasse : Je suis prêt et je suis serein. Je suis prêt, avec l’équipe qui est autour de moi, à me battre, pour la sauvegarde de la démocratie dans notre pays, pour le maintien de la dignité du peuple sénégalais, pour la liberté, pour la justice, pour la grandeur et pour la prospérité d’un Sénégal nouveau qui sera dirigé autrement. Je suis serein parce que préparé à assumer, dès que le peuple souverain le décidera et avec l’appui de Dieu, les charges les plus exaltantes au sommet de l’Etat.



Le candidat Moustapha Niasse a-t-il une motivation particulière pour ce scrutin ?

Oui, car, plus que jamais, notre pays a besoin de changement. Le Sénégal est aux prises avec une tension politique malsaine, qui affecte nos capacités vers un développement national, pour assurer le bien commun. Cela ne peut plus durer parce que nous avons atteint le fond.



Que faire ?

Un autre Sénégal est possible. Un avenir meilleur est à portée de main. Pour y parvenir, il faut rompre avec le mode de gouvernance actuel qui a détruit les mentalités positives et créé un flou inqualifiable à la tête de l’Etat.

Le Sénégal a besoin des dynamiques nouvelles centrées sur les compétences, l’expérience, le savoir-faire et la citoyenneté.



L’AFP a connu ces dernières années de grandes saignées. Votre parti n’est-il pas plus faible aujourd’hui qu’en 2000 ? Que vaut-il ?

Notre parti est une formation politique qui porte les vertus et, aussi, les travers de sa jeunesse : dynamisme, ouverture, spontanéité dans les initiatives et dans les actes posés, sincérité du dépassement de soi, vivacité, ambitions naturelles.

Il aurait été déraisonnable d’espérer que l’AFP, après près de huit années de fonctionnement, ne connaisse pas de départs, dus parfois à de nombreuses causes. Il s’y ajoute les effets du marché de la transhumance, ouvert et entretenu par le parti au pouvoir.

Je dois préciser que les nouvelles adhésions dépassent de loin les départs enregistrés. L’AFP ne s’est pas laissé déstabiliser, bien au contraire.

Savez-vous que notre parti compte plus de 400 cadres de haut niveau, à la compétence avérée et variée ? Et puis, il faut toujours dépasser la simple arithmétique. Un parti vit de l’intelligence, de la sagesse et de l’efficacité de ses militants et de ses dirigeants, davantage que dans le tourbillon et les cliquetis de ces rassemblements financés à coup de millions, avec à l’appui, transports et restaurations payés à des foules qui sont les mêmes, d’une région à l’autre, pour applaudir le Chef. Sans plus.

Ce qui importe, c’est la détermination et le patriotisme qui habitent les militants et les sympathisants de l’AFP, ces valeurs qui peuvent permettre de soulever des montagnes.



Vous allez aux élections en coalition et vous avez accepté de laisser à vos alliés des positions intéressantes sur les listes aux législatives. Comment les militants ont apprécié cette « générosité » ?

Nous avons voulu être justes avec nos alliés, en les associant à l’établissement de ces listes, en parfaite adéquation avec nos obligations morales et notre propre conscience. L’AFP conduit, au niveau des circonscriptions électorales, la plupart des listes et, sur la liste nationale, nous avons veillé, avec nos alliés, à ce qu’il n’y ait pas de frustrations. Les militants de l’AFP l’ont compris et accepté.



Autre remarque faite : Niasse a laissé à l’abandon son parti pour parcourir le monde au service de l’ONU. Comment avez-vous retrouvé l’AFP à la fin de la mission ?

Pendant ma mission dans le processus de paix dans les Grands Lacs et en République Démocratique du Congo, je n’ai laissé à l’abandon ni l’AFP ni le Sénégal. Je m’étais organisé pour faire accepter au Conseil de Sécurité de pouvoir continuer à diriger le parti, par des séjours fréquents au Sénégal et pour assumer mes charges de citoyen sénégalais, de père de famille et d’administrateur de sociétés.

Ainsi, l’AFP n’a jamais eu à souffrir de mes missions ponctuelles et alternatives en Afrique Centrale et Australe. Dans cette mission, mes absences n’ont pas constitué l’essentiel. En revanche, à la tête d’une équipe d’Experts de diverses nationalités, et pendant 18 mois, j’ai conduit au succès le processus de paix en RDC, par l’Accord global et inclusif de Pretoria, l’Acte final de Sun City, l’élaboration, grâce à la compétence du Professeur El Hadj Mbodj, de la Constitution pour la période intérimaire, celle de la Constitution qui a conduit aux élections générales de 2006 et d’autres actes posés grâce à la bonne volonté du peuple congolais. Ce grand peuple congolais, aujourd’hui, a repris son destin en main, à la satisfaction générale de la communauté internationale et des amis du Congo.

Evidemment, tous ces évènements ont été suivis par l’opinion publique nationale et internationale grâce à des médias étrangers, la télévision sénégalaise ayant toujours adopté une attitude d’ignorance totale de ce qui a été fait, pour des raisons purement politiques, sous la pression du pouvoir en place.

Notre pays, aujourd’hui, capitalise le travail qui a été fait dans les Grands Lacs par un citoyen sénégalais. D’autres Sénégalais continuent au service des idéaux de l’ONU, du PNUD, de l’OMS, de l’OMC, de l’Union Africaine comme de la CEDEAO, de travailler avec opiniâtreté. Ils servent ainsi la paix dans le monde. Mais le Sénégal en tire aussi profit.



Et si on vous reprochait d’avoir été transparent pendant tout le mandat de Wade pour se réveiller un trimestre avant l’échéance électorale?

Un homme d’Etat responsable ne peut être en campagne électorale de manière permanente. Je ne veux choquer personne en réaffirmant, encore une fois, que la politique ne me fait pas vivre. Je fais de la politique en posant des actes citoyens, en conduisant une vision, une manière de voir la situation, le présent et l’avenir de mon pays, pour contribuer à la direction des idées et apporter ma pierre à l’édifice national.

Sous ce regard, je peux rappeler que pendant 11 mois, j’ai été le premier Ministre du Gouvernement de Me Abdoulaye Wade. Les dérives que regrettent les Sénégalais ont commencé à survenir après mars 2001, c’est-à-dire après notre départ du Gouvernement. Ces dérives se sont poursuivies et aggravées pour aboutir à la situation que déplorent les Sénégalais.

Depuis que je suis retourné à l’opposition, l’AFP et moi-même n’avons jamais baissé la garde. Nous n’avons cessé de tirer la sonnette d’alarme sur l’état de délabrement du monde rural, sur le désespoir des jeunes, sur le dépérissement de l’outil industriel sénégalais, sur l’état désastreux des routes à l’intérieur du pays, sur la transformation de la ville de Dakar en un camp retranché de prétendus chantiers de travaux publics dont la lenteur d’exécution traduit simplement une volonté cosmétique de donner l’impression que le Gouvernement travaille. A présent, l’heure du verdict a sonné. Et avec elle, l’heure du changement. C’est le temps présidentiel. C’est le temps de la mobilisation.



Ne fallait-il pas adopter une posture d’opposant plus vigoureux sur le terrain ?

Dans la vie, tout être humain pense, réfléchit et agit avec un tempérament qui lui est propre, fruit et aboutissement d’un ensemble de facteurs psychologiques, intellectuels, environnementaux et sociaux.

Je me suis opposé avec force et vigueur à la politique d’Abdoulaye Wade. Mais je me suis toujours interdit toute attaque personnelle contre le président de la République ou contre sa famille. Je reste constant sur mes positions et sur celles du parti. Les actions que nous menons ensemble sont concertées dans un large esprit d’ouverture.

Au surplus, l’espace politique n’est pas, pour moi, une arène de gladiateurs où la seule issue est la mise à mort de l’adversaire. Je respecte la personne humaine, ce qui, parfois, peut être compris comme de la naïveté. Je ne changerai pas, à cet égard.



Pour la première fois, Moustapha Niasse a été arrêté par la police au cours d’une manifestation. Comment avez-vous vécu cet épisode ?

Avec sérénité. A chaque fois que c’est nécessaire, nous sortirons pour manifester. C’est notre droit et nous n’entendons pas nous en priver. En posant des actes illégaux comme le report des législatives, le président Wade peut compter sur l’opposition au sein du cadre mis en place pour manifester notre désapprobation.



Vous allez aux scrutins avec une coalition autre que la CPA alors que cette coalition avait déjà adopté un programme. Sous quelle bannière et avec quel programme allez-vous à la rencontre des électeurs ?

La réponse est simple. Nous avons créé Alternative 2007 qui regroupe 10 partis politiques dont la plupart sont connus de l’opinion sénégalaise. C’est cette Coalition qui m’a désigné comme candidat à l’élection présidentielle de 2007. J’en suis fier et j’en remercie mes collègues chefs de parti. M. Amath Dansokho, Secrétaire Général du PIT, conduit la liste pour les élections législatives, suivi du Professeur Madior Diouf, de M. Madieyna Diouf, des autres candidats de l’AFP et de ceux des partis membres de la Coalition, dans un ordre concerté et établi d’un commun accord. Notre programme est d’abord celui que nous avions élaboré au sein de la CPA. Si cette dernière a changé de forme, les besoins des Sénégalais et les urgences du développement sont restés les mêmes.



En 2000, Niasse était le candidat de l’espoir. Et en 2007 ?

En 2007 comme c’était le cas en 2000, je reste incontestablement le candidat de l’espoir et notre slogan, de ce fait, est « l’expérience au pouvoir ». L’AFP a été et demeure un vecteur principal de la profonde aspiration des Sénégalais vers le changement. Nous nous identifions le mieux à cette volonté de retour, vécue par nous tous, vers les valeurs du mérite, de l’action, de la responsabilité, de la transparence, de la disponibilité et du progrès. Sans prétention, je réaffirme que nous incarnons l’espoir d’une politique revigorée, débarrassée des scories et des handicaps qui prévalent chez nos adversaires. Ces derniers n’ont ménagé aucune combine pour ternir l’image de l’AFP et celle de son Secrétaire Général, nous qui n’avons jamais émis le moindre mot malveillant contre ceux qui nous ont quitté, attirés par les sirènes de la transhumance et qui ont, pour la plupart, largement médiatisé leurs départs, avec des arguments fallacieux, largement relayés par leurs amis nouveaux et leurs supports médiatiques.





Si vous êtes toujours le candidat de l’espoir, est-ce à dire que l’alternance n’a pas répondu à vos attentes ? Qu’est-ce qui n’a pas été fait et qu’il faudrait réaliser ?

Le régime de Me Abdoulaye Wade n’a pas répondu aux attentes des Sénégalais. C’est une évidence. La jeunesse s’était mobilisée, avec un enthousiasme touchant, pour contribuer, massivement, à l’avènement de l’alternance, par notre victoire de mars 2000. Aujourd’hui, elle prend la direction de l’Espagne, dans des pirogues de fortune bravant l’océan parce qu’elle a perdu ses repères devant l’immensité du désespoir qui l’a envahie, lorsqu’elle a pris conscience que le régime sur lequel elle avait fondé tant d’espoir est aux antipodes des promesses qu’il avait faites au peuple.

La société sénégalaise est en train de se décomposer. Notre devoir est d’arrêter les dégâts qui sont déjà profonds. Et le régime qui succèdera à celui de Me Wade aura beaucoup de tâches à accomplir, une fois fait l’état des lieux et après des audits effectivement réalisés, sans haine, sans rancune, de manière classique et impersonnelle, dans une parfaite transparence et dans le total respect des droits des individus, tels qu’ils sont reconnus par la Constitution.

Le peuple sénégalais est capable d’assurer le redressement du pays, s’il est bien dirigé, non pas par un Roi et ses affidés, mais par une équipe d’hommes et de femmes capables de conduire un programme de réformes et les bases d’un nouveau partenariat avec toutes les couches de la population, dans les villes comme dans les campagnes. Nous devrons, dès lors, prêcher par l’exemple, moraliser la vie publique, lutter vigoureusement contre la corruption, gouverner le pays autrement, servir le peuple.





Avez-vous idée de l’image que vous projetez ? Un homme pas commode …Si Niasse est élu, a-t-il des comptes à régler ?

Je n’ai jamais eu, dans ma vie, des comptes à régler. Se trouvent, aujourd’hui, autour de moi, des amis et des collaborateurs avec qui je n’ai jamais eu de conflits personnels ou politiques. Il s’y ajoute, aussi, des amis qui m’avaient quitté, à la faveur d’évènements politiques. Lorsqu’ils sont revenus à moi, je les ai accueillis à bras ouverts et ils sont parfaitement à l’aise dans ce qu’ils font, chaque jour, dans l’accomplissement des missions que je leur confie. Dans la vie, il faut savoir pardonner, il faut savoir oublier, parce que tout homme peut être sujet à l’erreur.

Nelson Mandela, que je connais personnellement, et à l’installation duquel, à Pretoria, j’ai représenté mon ami Kofi Annan, après son élection à la présidence de la République d’Afrique du Sud, est un modèle pour moi. Il devrait l’être aussi pour des hommes d’Etat qui ont son âge ou qui n’en sont pas loin. Le président Mamadou Dia est de cette trempe du sage, engagé auprès du peuple, déterminé dans son combat pour les libertés et pétri de foi. Le président Léopold Sédar Senghor qui, après sa mort, demeure pour moi une référence et un ami est aussi de cette trempe.

Avec de telles références, l’on demeure soi-même, avec sa vérité.



Un gouvernement avec le Parti socialiste, est-ce envisageable ?

L’Etat de dégradation poussée dans lequel le régime de Me Abdoulaye Wade va laisser le Sénégal commande une réunion et une fédération de toutes les bonnes volontés prêtes à travailler au redressement de notre pays. Ce redressement devra commencer par la reconstruction de l’Etat, le rétablissement des libertés démocratiques, la remise des Sénégalais au travail sans contrainte ni violences mais avec fermeté.

Le parti socialiste aura bien sa place dans un gouvernement de reconstruction nationale, si nous remportons les élections à venir. Dans ce parti, où j’ai politiquement grandi, il existe des hommes et des femmes qui sont des patriotes et qui réunissent compétence et expérience.



La CPA a beaucoup insisté sur la nature du régime à installer si elle gagne. Le régime parlementaire tel que dessiné par la CPA vous convient-il si vous devez être élu président de la République ?

L’esquisse qui a conduit au schéma institutionnel adopté par la CPA est une œuvre commune à l’élaboration de laquelle l’AFP a pris une part active. Moi-même, en ma qualité de Juriste formé au Droit public, j’ai rédigé l’ossature des mécanismes qui portent, comme assise, le concept de régime parlementaire. Ce régime est à différencier, en Droit constitutionnel classique, avec le régime dit d’Assemblée ou le Parlement est au centre du pouvoir d’Etat.

Le régime parlementaire, au contraire, permet à l’Exécutif d’assumer la plénitude de ses prérogatives, sous le contrôle d’une Assemblée législative, qui vote les lois, la Justice, comme pouvoir judiciaire, ayant pour mission de dire le droit, de faire appliquer les lois et de protéger les libertés des citoyens, dans une communauté apaisée où la force du droit empêche tout droit à la force.

Et puis, il ne faut jamais oublier qu’il n’y a pas d’Etat sans peuple même si, dans l’histoire de l’humanité, des peuples errant se trouvent sans Etat.



Quel président voudriez-vous devenir ?

Un président de la République doit savoir se situer à la hauteur de ses responsabilités, c’est-à-dire se mettre à la hauteur de ses responsabilités devant l’histoire. Des bons et des mauvais Chefs d’Etat, il y en a eu à toutes les étapes de l’évolution du monde. Il existe des exemples encore aujourd’hui cités pour les actes de gloire posés, les progrès réalisés au service du peuple, les infrastructures construites, les élites formées, les gains accumulés dans l’espace de l’éthique et de la morale, etc. J’ai l’ambition de figurer parmi ces références, le reste étant entre les mains du Seigneur.

Je ne voudrais surtout pas être un président « ninki-nanka », sachant tout, n’écoutant jamais



Le débat sur l’âge du président a été soulevé assez régulièrement ces années. Pensez-vous qu’il faut, nécessairement, fixer un âge plafond dès lors qu’il y a un âge plancher pour se présenter à l’élection présidentielle ?

Il devrait être possible d’envisager que tous les Sénégalais qui dépassent 75 ans ne puissent pas prétendre à la charge de président de la République. A cet âge, même si l’on est crédité d’une sagesse et d’une expérience supposées effectives, l’on doit aspirer davantage à un repos mérité ou à des activités privées qui ne requièrent pas des ressources énergétiques pour l’individu. Je m’en arrête là pour que cette position ne puisse pas être considérée comme s’adressant à quelqu’un qui aurait dépassé ce niveau d’âge d’une dizaine d’années.

Nelson Mandela a donné un bon exemple, en décidant d’effectuer un mandat – et un seul – pour mettre sur les rails la nouvelle Afrique du Sud et laisser les rênes de l’Etat à une équipe de jeunes qui, pendant les cinq années de son mandat, avait, à ses côtés, été imprégné des profondeurs et de la complexité des dossiers de gestion d’un Etat.

Faire le mandat de trop, c’est le risque qu’il faut, dans tous les cas, éviter. Mais, pour cela, il faut savoir prendre de la hauteur et faire preuve de grandeur. J’en prendrai le moment venu. L’ambition que j’ai pour mon pays peut se réaliser largement en cinq ans.



L’argent a été au cœur du débat politique ces dernières années. Comment voyez-vous le traitement de toutes ces affaires d’argent qui ont émaillé les dernières années du régime Wade ?

Je l’ai dit : il faudra, au lendemain du 25 février 2007, engager des mesures rationnelles et déterminées pour lutter contre la corruption. Il faudra, évidemment, s’abstenir de tout objectif visant à régler des comptes. Comme la justice et la morale recommandent de gérer les deniers de l’Etat en toute transparence et avec une extrême rigueur, tout régime responsable et sérieux ne saurait encourager, sous quelque forme que ce soit, le développement d’une culture de l’impunité.



Si des changements dans la gouvernance doivent être faits, comment voyez-vous ces mues dans la gestion des affaires publiques ?

La transparence, l’honnêteté et l’esprit de responsabilité doivent refaire surface et redevenir les fondements des actes posés par l’Etat et ses dirigeants. L’Administration sénégalaise doit puiser ses ressources morales dans une telle option.



Le calendrier électoral a connu beaucoup de perturbations. Votre parti a dénoncé le report des législatives. Comment allez-vous faire face à ces valses sur les dates des élections ?

Vous dites bien valses. Depuis plus de deux années, le chef de l’Etat et son régime ont conduit unilatéralement le processus électoral, dans le seul but de se déclarer vainqueur, tout en sachant qu’ils sont en minorité sociologiquement et politiquement dans le pays. Du fait de la faiblesse de leur bilan et plus particulièrement des comportements et des dérives dont leur parcours est parsemé, au détriment du peuple.

Au moment où vous me posez cette question et pour la première fois, depuis l’indépendance du Sénégal, des élections législatives ont été reportées, deux fois de suite, sans arguments convaincants. Même le scrutin présidentiel est encore incertain, tant le flou artistique que déroule le régime permet toutes les conjectures et des motifs justifiés de méfiance. A ce propos, je dis de la manière la plus solennelle que je m’oppose, avec une extrême vigueur, à tout report du scrutin présidentiel du 25 février 2007.



En dépit de ces incertitudes que vous relevez, pensez-vous que le rendez-vous du 25 février sera apaisé et que l’on aura un scrutin transparent ?

Si les prévisions du régime en place se réalisent, ce scrutin sera marqué de violences et de perturbations. Ce régime voudra gagner aux élections alors qu’il se sait minoritaire. Il utilisera des subterfuges et des combines pendant le déroulement du scrutin. Il voudra falsifier les résultats. Il retardera les procédures de contrôle de la gestion du contentieux par des pressions auxquelles il a habitué les citoyens et les électeurs.

Et le peuple souverain ne l’acceptera pas. Nous ferons face avec vigueur.

Dans l’hypothèse où les élections se dérouleront normalement et dans le calme, le droit souverain du peuple de choisir ses dirigeants sera sauf. Dans ce cas, la passation de pouvoirs s’opérera conformément à la loi. Dans ces conditions, la démocratie sénégalaise sera sauvegardée. Laquelle des deux hypothèses sera-t-elle celle qui prévaudra ?



La CENA, l’organe chargé de la supervision vous paraît-elle en mesure de garantir un scrutin transparent ?

Dans le principe oui. Mais la CENA a beaucoup tardé à être installée. Ses moyens de fonctionnement n’ont été mis à disposition qu’avec un retard qui avait inquiété les acteurs politiques et les membres de la CENA eux-mêmes.

Dans l’exercice de ses attributions, la CENA s’est heurtée à des incompréhensions de la part des pouvoirs publics. Elle n’a pas été toujours associée à la prise des décisions fondamentales, notamment quand le président de la République lui-même a, les yeux fermés, signé un décret, le 8 décembre 2006, répartissant de manière inique et personnellement les 90 postes de députés entre les circonscriptions électorales, sans tenir nullement compte de la référence démographique. Malgré tout, j’estime que la CENA, si elle fait preuve de rigueur et si elle est intraitable sur les exigences de la loi, peut faire comprendre au régime de Me Abdoulaye Wade qu’il est inacceptable que le code électoral soit violé dans la gestion du processus électoral.

La balle est donc dans le camp de la CENA puisqu’est connue et reconnue la volonté du pouvoir de fausser les élections pour s’attribuer la victoire.



Comment voyez-vous le Sénégal en février 2012 à la veille de l’élection présidentielle ?

Si Dieu aide les Sénégalais à comprendre que la survivance, encore pour cinq années, du régime en place, va détruire, pour longtemps, le tissu social, les infrastructures industrielles, les ressources naturelles, halieutiques et minières, l’agriculture sénégalaise, dans cinq années une équipe crédible et compétente peut régler les problèmes que vivent les citoyens. Je peux, ici, affirmer que je ne m’engagerai que pour cinq années, un mandat. Pas plus.

Si les Sénégalais votent dans leur majorité pour mettre fin au régime actuel, le 25 février 2007, la reconstruction du pays commencera, au terme de la deuxième année, soit en 2009, à produire ses fruits. Après les réformes structurelles qui porteront sur les secteurs porteurs de l’économie nationale, après le retour en surface de la crédibilité internationale de notre pays, les bailleurs de fonds et les investisseurs afflueront vers Dakar puisqu’ils y trouveront leur compte, dans un échange fondé sur le respect mutuel et sur la conjugaison des intérêts réciproques.

La communauté internationale ou les bailleurs de fonds ne sont pas en mesure, à eux seuls, de développer notre pays à la place des Sénégalais. Mais le Sénégal a l’obligation de prendre, à temps, le train de la mondialisation pour s’inscrire dans la société de l’avenir, société du savoir, de l’éducation et de la formation, et intégrer, sciemment, les données nouvelles des progrès de la science en matière de développement.

Naturellement, cinq années ne suffiront pas. Mais, l’équipe qui prendrait la relève, en 2012, de celle du nouveau président élu, y compris ce président-là lui-même, cette nouvelle équipe donc devra pendant cinq années encore poursuivre l’œuvre commencée, après la phase de reconstruction d’un pays aujourd’hui presque totalement détruit.

Entretien dirigé par Momar Diongue, Mandiaye Thiobane et Babacar Dione

jeudi 15 février 2007

Une immense chance pour chaque visiteur !

Faites un instant d'arrêt dans votre vie, oubliez vos soucis et vos malheurs,
penser seulement à votre rôle sur cette terre...
Méditer en lisant ces quelques lignes :
Si nous pourrions être arrêtés pour être des Musulmans, la police aura-t-elle assez de preuves pour nous inculper?
Pourquoi il est si difficile de dire la vérité, là où c'est si facile de mentir?
Pourquoi sommes nous si somnolents dans la mosquée,
mais devenons droits quand on nous appelle soudainement à la prière?
Pourquoi il est si difficile de parler de Dieu,
quand il est si facile de parler des dernières sorties et du sport?
Pourquoi il est si ennuyeux de regarder un article sur l'Islam,
Quand il est si facile de regarder les photos de Jennifer lopez?
Pourquoi est cela si facile de supprimer un courrier électronique religieux alors qu'il est si facile d'expédier un article d'Humour?
Pourquoi les mosquées deviennent-elles de plus en plus petites, alors que les clubs de danse deviennent de plus en plus grands ?
Pensez y
Allez-vous réexpédier ce message ou le supprimer.
Juste rappelez-vous que Dieu vous observe.
La Prière, est Ici-bas le véhicule de tout.
Quand vous recevez ceci, dites une prière pour la personne qui vous l'a envoyé...
Ca ne vous coûte rien, mais cela vous rapporte une merveilleuse RÉCOMPENSE !

Le Prophète (psl) avait prévu ces cas il y a 1400 ans!!!
Aujourd'hui, c'est pire !!!
Les chameaux ne seront plus employés comme des moyens de transport.
Les gens iront sur des selles qui ne sont pas des scelles (des voitures?).
La distance sur la terre deviendra courte.
Les chevaux ne seront pas employés dans des guerres.
Les Juifs se réuniront de nouveau pour vivre dans le territoire de Canaan.
De très grands bâtiments seront construits.

La disparition de la connaissance et l'apparition de l'ignorance, avec beaucoup de meurtres.

L'adultère deviendra répandu et boire du vin deviendra naturel.
L'Islam deviendra usé comme le sont les vêtements, avant que personne ne sache ce que sont la participation à la grève de la faim, la prière, la charité ou encore les rituels.
Allah enverra une maladie sexuelle qui n'aura aucun remède.
Les gens commenceront à croire en les étoiles et rejetteront Al Qadar. (le Destin)
Les hommes passeront à côté des tombes et diront :
" Ah si j'étais à sa place " (presque tous morts suicidaires?).
L'Euphrate découvrira une montagne d'or pour laquelle les gens se battront (la rivière Alfourat se trouve près de la Syrie).

Deux grands groupes des gens se battront l'un contre l'autre et il y aura beaucoup de dommages.
Ils sont tous les deux de la même religion (Deuxième Guerre mondiale?)
Environ 30 Dajjals (Faux Messie) apparaîtront, et chacun prétendra être le Messager d'ALLAH.

Les tremblements de terre augmenteront le temps passera rapidement.
Les malheurs apparaîtront.
Le meurtre augmentera.
La richesse augmentera. Les femmes porteront des vêtements, mais sans vraiment porter des vêtements.
LE PROPHÈTE (psl) A DIT : "SI MA OUMMA PORTE 15 TRAITS,
LE TOURMENT LE SUIVRA. " (JOUR DE JUGEMENT)
QUELQU'UN A DEMANDÉ... "QUE SONT-ILS OH MESSAGER D'ALLAH?"
Quand la confiance deviendra le moyen d'obtenir du bénéfice.
Quand le paiement de la Zakkat deviendra un fardeau.
Quand les voix se lèveront dans les mosquées.
Quand le leader des gens est le plus mauvais d'entre eux.
Quand les gens traitent un homme avec le respect parce qu'il faut le faire.

Quand beaucoup de vin est bu; que le vent est rouge et que la terre tourne pour eux, ou que les hommes se transforment en animaux....
LES PLUS GRANDS SIGNES DE L'HEURE
Le Coran disparaîtra en une nuit, même dans les coeurs des hommes et aucune sourate ne sera laissée sur terre. (Quelques groupes de vieillards seront laissés et diront :
"nous avons entendu parler de quelqu'un qui disait "LA IL-LAHA
ILLA-L-ALLAH
" et nous le répétons.") L'apparition du MAHDI.
L'apparition du DAJJAL (Antéchrist).
L'apparition de Ya'juj et de Ma'juj.
Issa (Jésus) viendra pendant le temps de Dajjal.
Le soleil se lèvera à l'ouest.
La destruction de la Ka'ba et la réapparition de ses trésors.
Maintenant vous avez le choix entre deux options:

1- laisser ce message pourrir ici, et aucune malédiction ou aucun risque ne vous arrivera (Incha'Allah)

2- Envoyer ce message à un certain nombre de gens que vous connaissez et par la grâce d'Allah vous serez bénis pour chaque personne pour laquelle vous avez expédié ce courrier électronique.
(je tien a rajouter que si je vous l'envoie c non pas pour être béni mais car je pense qu'il est très important de se faire des rappel entre frères et soeurs ...
L’Islam n’est pas une nouvelle religion, mais la même VERITE que DIEU révéla à travers tous les prophètes: il n’y a qu'un Dieu.
Pour le cinquième de la population mondiale l’Islam s’avère être à la fois une religion et un mode de vie complet adapté à l’humanité par notre Créateur

mardi 13 février 2007

Papa conseil suite


Ne te met pas en mal avec ceux qui t'ont fait confiance et en tête de ce qui se trouve le Président et le Premier ministre. fais savoir à ceux qui t'ont combattu que tu connais leur position et comprends leur inquiétude. Rassure-les et essaye de les convraincre qu'ils ont eu tort. Ne te coupe ni de tes amis d'hier mais que personne je dis bien personne, ne réussisse à te faire dévier de la route que tu t'es tracée et qui doit être pavée de règlement et de lois. s'ils veulent te voir reçois les, mais n'accepte pas qu'on te fasse perdre ton temps. IL faut néanmoins rester correct simple et courtois. refuser quelque chose à quelqu'un n'est ni bon ni mauvais, tout est dans la manière. On peut donner et faire de son donnateur un ennemi. On peut refuser un service et garder un ami. le reste d'ici peu!!!

Comment réussir un entretien d'embauche

3 éléments clés pour faire toute la différence :

1/Comment faire impression en moins d'une minute ?
-"Parlez-moi de votre parcours" est la 1ére question la plus posée lors d'un interview ou d'un networking. Si vous cherchez vos mots, ou que vous cherchez simplement quoi et comment répondre, vous perdez les 20 premières précieuses secondes qui font bonne impression.
-Soyez prêt à répondre à tout moment, entraînez-vous afin d'utiliser cette question à votre avantage. -Résumez les moments marquants de votre parcours professionnel, (du plus récent au plus ancien). -Ne vous perdez pas dans les détails, allez directement au fait. Cours et concis.

2/Comment capter l'attention de votre interlocuteur ?
-Soyez le plus précis possible dans la présentation de vos objectifs, insistez sur vos qualifications qui démontrent que votre expérience et vos compétences sont en totale adéquation avec le besoin du poste.

-Accentuez vos qualités personnelles et professionnelles qui font de vous le candidat unique pour le poste. -Posez des questions afin n'animer la conversation pour ne pas être le seul à parler et afin de découvrir la culture de la société et les conditions de travail.
-Faites des réponses très courtes, de 60 et 90 secondes afin de garder toute l'attention de votre recruteur ou interlocuteur.

3/Ou et quand utiliser votre "elevator pitch" ?
-Dans le métro, dans la rue, chez les commerçants, lors d'une soirée, etc
-Lors d'un entretien d'embauche.
-Lors d'un networking.
Votre "elevator pitch" vous suit partout du matin au soir. Chaque fois que vous vous présentez et que vous souhaitez faire savoir à votre interlocuteur que vous cherchez un emploi.

Pour recevoir un modèle pour rédiger votre "elevator pitch" en anglais Cliquez-ici (Précisez "elevator pitch" en sujet)
(c) 2005 Biba F. Pédron. Voir aussi notre article "Le Networking et votre recherche d'emploi".
"L'impact du 1er Rendez-vous" - $25 frais de port $3,50 (Séminaire en anglais)
Jude L. Gorgopa, life & career coach et Image Consultante, President de Clout Et Cetera, www.cloutetcetera.com.
Il faut plus qu'un bon CV et une lettre de motivation pour faire bonne impression lors d'une interview. Jude explique comment se présenter et se comporter lors d'une interview : les vêtements, les couleurs, le style, la voix, le language du corps : comment interprêter les gestes de votre interlocuteur et faire passer le bon message. Ce qu'il faut faire et ne pas faire : comment entrer dans la pièce, comment s'assoir, comment sortir de la pièce, les premières phrases (les plus importantes), comment quitter votre interlocuteur, les questions à poser avant de partir. Quand et comment recontacter la société. Et plus encore...

Conseil d'un père à son fils en relation bancaire

mon fils
mes félicitations ! que dieu t'aide à porter ta lourde charge. qu'il te protège contre le mal et t'inspire à chaque instant afin que tu suives la voie du bien
j'ai confiance.
néanmoins je ne peux m'empêcher de te donner quelques conseils en de telles circonstances. d'ailleurs tu en entendras bien d'autres. il faut en prendre et en laisser. méfie toi il faut donc écouter tout le monde, et prendre ta décision seul. je n'attendrai pas aujourd'hui pour te faire une leçon de morale. je suis donc sure que tu va jamais changer. mais je vais te livrer quelques remarques. il ne s'agit guère des fruits d'une réflexion, mais du résultat d'une longue expérience de responsabilités. je te sert sans ordre:
n'aie confiance en personne à commencer par moi. ne fait jamais rien d'important sans en discuter avec ton épouse. il ne s'agit évidemment pas de faire ce qu'elle te dit mais de prendre son avis. prends en, aussi d'autre en ayant en tête que ce que tu dis à un étranger sera répète, et parfois déformé. reste simple mais ne soit pas vulgaire un banquier est comme un magistrat: il ne doit pas être accessible à tout venant. sois égal pour tout garde tes sentiments. respecte, riche, pauvre, puissant et misérable. à suivre d'ici peu....

La MACD et ses secrets

Une chance pour chaque visiteur!